13 février 2009
Droit de suite
Maman, laide, Mère la face enfoncé dans la fange c'est à toi seule que j'adresse cette prière
Bénie soit tu pour toute les souffrances que tu m'infliges
Pour la maladie qui me ronge les poumons
Pour l'errance à laquelle tu me contrains
Pour mes mensonges mes escroqueries les amis proches qui connaîtrons
Mon courroux ma lachetée mes trahisons
Maman, Laide, Mère la face enfoncée dans la fange c'est à toi seule que j'adresse cette prière
ces louanges
Louanges à la folie qui me guette
A la main qui refuse de se tendre
Aux crachats à la cendre à la poussière
Ou je t'en supplie fait de moi
Ta victime
Ton complice
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