14 septembre 2009
Toujours en relisant Louis Trente (et en pensant à mon épousée)
Je me réjouis de mes débauches passées. Je m'en remémore longuement de scabreux détails. J'en suis heureux le plus souvent. La saveur d'un cul, d'une bouche, des seins, surtout la sensation de nudité : une fille infiniment plus nue qu'une autre, miraculeusement...